
Dr. David Mibashan, C.Psych.
Nous ne pouvons pas nous mentir : prendre conscience que quelque chose nous dérange est le premier pas vers la compréhension de notre situation actuelle. Suivre une thérapie est une deuxième étape positive. Cela nous permet de voir d’où nous venons, où nous en sommes actuellement et où nous aimerions être. Nous devons également garder à l’esprit qu’une fois que l’on sait quelque chose, on ne peut plus l’ignorer.
Depuis plus de 40 ans, j’ai travaillé, en tant que psychologue agréé, avec des personnes qui se sentaient déprimées, anxieuses, au bord du burn-out ou tout simplement insatisfaites de certains aspects de leur vie. Ensemble, mes clients et moi-même avons fait face, entre autres, à des traumatismes, à des deuils, à la douance, à des handicaps et à des problèmes d’immigration. Souvent, nous découvrons des questions existentielles plus profondes qui sous-tendent les préoccupations plus passagères’.
Je travaille en utilisant une approche humaniste/existentielle intégrant des éléments d’approches psychodrame, gestaltiste et systémique. Après avoir observé (principalement en vidéo) des thérapeutes créateurs de tendances (Minuchin, Schubert, Bandura, Moreno, Watzlawick, Perls, Mahrer), j’ai constaté deux choses : intégrer différentes approches signifie d’abord aller plus profondément et, deuxièmement, la plupart des thérapeutes qui réussissent comprennent leurs clients et communiquent ces résultats à eux.
Lors de la première séance, je veux en savoir plus sur ce qui amène le client ici, pourquoi maintenant, comment il a traité le problème auparavant. Ensuite, je veux entendre l’histoire de sa vie, dans des situations particulières où il s’est senti bien ou mal ; son intégration dans la famille, l’école, les réseaux sociaux. J’explique ensuite à mes clients comment je travaille. Pendant les deux ou trois premières séances, nous traitons souvent du passé. À partir de là, nous regardons principalement le présent et l’avenir. Les clients acquièrent bientôt une perspective d’eux-mêmes au moment présent et commencent alors à prendre des décisions (en gardant à l’esprit que procrastiner ou ne pas décider sont aussi des décisions). La prise de décision est difficile à cause de deux éléments : en premier lieu, nous devons assumer la responsabilité de nos décisions ; en deuxième lieu, décider pourrait nous donner une certaine liberté. La liberté effraie la plupart des êtres humains. Une thérapie réussie exige du courage et peut être par moment pénible, mais en fin de compte probablement bien moins pénible que de se passer de la thérapie.
Je suis titulaire d’un doctorat en psychologie clinique de l’Université d’Ottawa (1990) et d’une maîtrise en psychologie de l’Université de Regina (1984). J’effectue des psychothérapies individuelles auprès d’adultes, J’effectue la supervision clinique des doctorants et des psychologues agréés. Je travaille en anglais, français et espagnol. J’ai été consultant pour des entreprises telles que Coca-Cola, Unilever et Volkswagen. J’ai travaillé dans des hôpitaux et des cliniques et j’ai également réalisé des expertises juridiques pour les tribunaux. Sur une note personnelle, j’aime l’exercice physique, la lecture et l’écriture. Je crois aussi qu’une zone de confort n’est pas nécessairement une chose négative.
Enregistrements professionels:
1985 – College of Psychologists of Quebec (Ordre des psychologues du Québec)
1990 – College of Psychologists and Behaviour Analysts of Ontario (l’Ordre des psychologues et des analystes du comportement de l’Ontario)
1998 – Ministry of Health, Argentina
Traitement
- Anxiété et stress
- Carrière et milieu de travail
- Counseling de fertilité
- Dépression, humeur et deuil
- Estime de soi et croissance personnelle
- Multiculturel
- Personnalité
- Psychologie de la réadaptation
- Psychologie de la santé
- Psychologie médico-légale
- Régulation de la colère et des émotions
- Relations interpersonnelles
- Trauma et SSPT
- Troubles liés à l’abus de substance
- Troubles obsessionnels-compulsifs
Thérapies
- Thérapie centrée sur le client
- Thérapie d’intégration
- Thérapie existentielle et humaniste